Quand j’ai lancé Ermin, j’avais une idée claire : proposer une ligne d’essentiels masculins élégants, durables, avec un ancrage breton assumé… mais moderne.
Pour affiner cette vision, je vous ai posé quelques questions. Et vous avez joué le jeu.
Merci pour ça.
Voici ce que j’ai appris, ce que ça confirme, et ce que ça inspire pour la suite.
Vous aimez la mode… à votre manière
À la question « est-ce que tu te sens concerné par le style ? », une majorité a répondu oui.
Mais pas dans le sens “suivre les tendances à tout prix”. Plutôt : choisir des pièces bien coupées, durables, qui ont du sens.
On est donc exactement là où je veux vous emmener avec Ermin.
La fabrication ? Elle compte (vraiment)
Vous êtes plus de 70% à accorder une forte importance à l’origine des vêtements que vous portez.
Et pas pour la frime : pour des raisons éthiques, environnementales, humaines.
C’est un point clé pour Ermin : je privilégie une production en France ou au plus proche, avec une traçabilité claire et un lien fort avec les fabricants.
Une marque bretonne, oui… mais pas cliché
Ce qui vous attire chez Ermin, ce n’est pas un folklore revisité. C’est une identité sobre, ancrée mais subtile, qui fait écho à un art de vivre breton moderne : sensible, engagé, sans compromis sur le style.
Et ça, je le prends comme un joli signe de confiance.
Ce que vous attendez comme produits
Trois grands favoris se dégagent très nettement :
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Le t-shirt – basique, oui, mais bien pensé, bien taillé, avec ce petit twist qui fait la différence.
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La casquette – un accessoire simple, pratique, mais à forte identité.
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Le sac ou la sneakers – pour allier l’élégant et le fonctionnel, dans l’esprit d’un vestiaire utile et durable.
Spoiler : ces trois projets sont déjà sur les rails. Certains vont même passer en prototype très bientôt.
Et la précommande dans tout ça ?
Vous êtes globalement favorables à ce système, inspiré d’Asphalte : produire uniquement ce qui est commandé, éviter le gâchis, et proposer une qualité supérieure.
Mais j’ai bien noté qu’il faut vous accompagner, montrer, rassurer.
Ça tombe bien : je vous prépare du contenu clair, des visuels, et un maximum de transparence sur chaque étape.
Ce que vous rêvez de retrouver chez Ermin
Vos mots me touchent.
Vous parlez d’authenticité, de lien, de clarté, de confort, de simplicité.
Certain.e.s veulent pouvoir personnaliser, d’autres souhaitent une vraie relation humaine avec la marque.
Ermin ne sera jamais une machine. Ce sera une petite structure, sincère, fluide, avec des produits conçus pour durer et une expérience d’achat aussi douce qu’un week-end sur la côte nord.
La nuit dernière, j’ai clos la toute première précommande Ermin.
Une soixantaine de casquettes ont trouvé preneur.
Et, au départ, j’avais annoncé que seules les commandes passées seraient produites.
Mais voilà.
Je ne veux pas décevoir celles et ceux qui ont cru en moi, ni les laisser attendre une production qui n’existerait pas.
Alors j’ai décidé de lancer la fabrication quand même.
Les ateliers vont donc produire l’ensemble des 300 casquettes prévues, même si toutes ne sont pas encore vendues.
C’est un choix que je fais en conscience.
Parce que je crois profondément en ce que je construis.
Parce que ces 60 premières commandes ne sont pas un échec — elles sont un début sincère, concret, encourageant.
Et parce qu’une marque comme Ermin ne se bâtit pas sur des “si”, mais sur des actes.
Je reste fidèle à l’esprit de la précommande : produire avec justesse, éviter le gaspillage, et avancer pas à pas.
Simplement, cette première fois, il fallait un petit coup de pouce du fondateur.
Les casquettes seront livrées mi-décembre, juste avant Noël.
Et je sais déjà que beaucoup les porteront fièrement au printemps prochain — période plus propice, plus lumineuse, plus “casquette”.
Je referai d’ailleurs une nouvelle vente en avril ou mai, pour ceux qui voudront rejoindre l’aventure à ce moment-là.
Entre-temps, je prépare le prochain lancement : le sweat Ermin, qui ouvrira en précommande début décembre.
Une pièce essentielle, élégante, fabriquée avec la même exigence que tout le reste.
Je ne suis pas pressé, je suis persévérant.
Je ne cherche pas le buzz, je cherche la justesse.
Et je continue à avancer, porté par ceux qui ont cru avant tout le monde.
Merci à vous.
L’aventure continue, avec la même sincérité, la même envie, et toujours le même cap :
créer des essentiels ancrés, durables et vrais.
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Loïc Milin
Fondateur d'Ermin
le 02/06/2025